Highlander : Arkham Asylum Ceci est encore une de mes fanfics, un cross-over entre Highlander et le magistral album de Grant Morrison et Dave McKean, Batman : Arkham Asylum Notes : Batman : Arkham Asylum est l'histoire de Batman confronté à ses démons intèrieurs losqu'il doit libérer l'asile d'Arkham dont le personnel est pris en otage par ses pensionnaires: le Joker, Two-Face, Poison Ivy et toute une bande de cinglés aux super-pouvoirs qui dans l'album représentent chacun une parcelle de la personnalité de Batman. Les similitudes entre l'univers de Duncan McLeod et celui de Batman m'ont poussé à écrire cette histoire. Les dialogues sont basés sur l'histoire d'origine. Disclaimer : Duncan McLeod, Richie Ryan, Cassandra, Quenten Barnes, Xavier St.Cloud et quelques autres appartiennent à Panzer/Davis. Batman, Robin, le Joker, Catwoman, Two-Face, Firefly, le Comissaire Gordon et Arkham Asylum sont la propriété de DC Comics. Gotham City - nuit de pleine lune. Le symbole de la chauve-souris illumine la nuit de Gotham. Duncan McLeod, le justicier immortel connu sous le nom de Batman entre dans le bureau de son ami, le Comissaire Gordon. McLeod : Désolé d'être en retard, Gordon. Des problêmes en ville. Que se passe-t-il ? Gordon : Une émeute à l'asile d'Arkham. Les pensionnaires ont pris le contrôle de l'immeuble, nous ignorons comment. Ils tiennent le personnel en otage et font toute sorte de demandes idiotes. Nous avons du leur envoyer des vêtements, de la nourritures, des jeux... McLeod : Et ? Gordon : Ils veulent une dernière chose. Ils veulent te parler personnellement. McLeod : Je vois. Le téléphone retentit. Gordon : C'est le Joker. Le Joker, alias Xavier St.Cloud, était un illuminé qui se plaisait à empoisonner ses victimes et ses complices avec du gaz moutarde. Lui ausi était immortel. Il était aussi responsable de la mort de Richie Ryan, Robin, le jeune compagnon de McLeod. McLeod : Xavier ? Que veux-tu ? Xavier : Hello McLeod ! Comment ça va, tu as toujours la tête sur les épaules ? McLeod : Ne me fais pas perdre mon temps. Dis moi juste ce que tu veux. Xavier : Devine. Nous te voulons. Dans l'asile. Là où est ta place. McLeod : Et...et si je refuse ? On entend des scritch, scritch etouffés. Xavier : J'ai avec moi mon infirmière privée. Elle m'a dessiné une jolie maison avec le crayon que je suis en train de tailler. Ouvre grand les yeux, ma chérie. Hurlement de terreur de l'infirmière. McLeod: Grand dieux, non ! Silence. McLeod se tourne vers la fenêtre. Xavier : Tu as une demi-heure, McLeod. Apporte une canne. "Clic" Gordon : Mon Dieu, cette pauvre fille. Batman je... McLeod : J'y vais. Gordon : Tu n'es pas obligé. Laisse moi organiser une SWAT team... McLeod : C'est quelque chose que je dois faire seul. Gordon : Je comprends que tu ais peur. Arkham a une sacrée réputation. McLeod : Peur ? Batman n'a peur de rien. C'est de moi que j'ai peur. J'ai peur que Xavier...le Joker...n'ai raison à mon sujet. Parfois je mes en doute la rationalité de mes actions. J'ai peur d'avoir l'impressin, quand je metterais les pieds là-bas, de revenir chez moi. Chapître II : La Batmobile, l'impressionnante Thunderbird noire de l'immortel Duncan McLeod, Batman, s'enfonce dans la nuit. Batman est devenu mentalement perturbé après l'assassinat de ses parents, Ian et Mary McLeod, au sortir d'un ciné par l'immortel Kanwulf. Le jeune Duncan fut élevé par le domestique de ses parents, Joe Dawson, qui l'observa grandir, étudier, amasser des fortunes et devenir immortel. Duncan McLeod se jura de débarasser Gotham City de la vermine qui l'infestait : le crime. Et son guide, son père spirituel, Joe Dawson, observa dès lors ses agissements. L''Asile d'Arkham pour Fous Dangereux. Un endroit sombre, gothique, hanté par les âmes des malheureux qui au fil des siècles ont séjourné içi. C'est dans cet hôpital que séjournent non seulement tous les malades mentaux de la ville mais aussi quelque uns des plus dangereux immortels existant. Des immortels emprisonnés par Duncan McLeod qui ne pouvait se résoudre à les décapiter. Car pour aussi perturbé qu'il était, Batman ne pouvait se résoudre à tuer. Xavier St.Cloud, alias Joker, un perver se repaissant de la mort des autres. Responsable de la mort du plus fidèle compagnon que Duncan McLeod n'ait jamias eu : son fils spirituel, Robin Ryan qui savait de temps en temps le faire sourire, le faire rire. Duncan n'a plut rit, n'a plut souri depuis sa mort. Michael Moore, alias Two-Face, l'ancien procureur de la ville. Rendu fou par un jet d'acide qui lui à détruit la moitié du visage. Dans son esprit c'est une guerre permanente entre Michael et son alter-égo Quenten Barnes : ils décident du sort d'une vie à pile ou face. Cassandra, alias Dr.Destiny, une divinatrice dont les talents psychiques vous font perdre toute conscience du réel. Bryce Korland, alias Firefly, poête beatnik, saxophoniste et pyromane. Ces poêmes sont lus dans tous les cercles mondains de Gotham City, qui fut ravagée à une époque par les flammes. L'oeuvre de Korland. Kristin Gilles, alias Poison Ivy, maîtresse des plantes dont elle tire un suc vénéneux. Elle s'en nourrit supporter son immortalité et oublier sa solitude. Au bout de 1000 ans d'absorbtion de cette drogue elle est devenue folle. Gavriel Larca, alias Maxie Zeus, un acteur rendu fou par la brûlure extatique de son premier quickening est persuadé d'être une dieu ayant tout contrôle sur chaque chose animée et inanimée sur cette planête. John Garrick, alias Clayface, le sculpteur d'argile dont l'esprit a depuis longtemps fondu. Il essaie de recréer sa propre réalité à travers ses sculptures. Ursa, un simple d'esprit surnommé Killer Croc à cause de sa force surhuimaine qui le fait tuer des innocents et de son corps recouvert d'écailles. Marcus Korolus, the Scarecrow, dont la passion est de faire mourir de peur les pauvres mortels. Brian Cullen, Mad Hatter, rendu fou par la drogue. Obsédé par la finalité du Gathering qui cherche des réponsesà ses questions dans la drogue et l'alcool. Voilà la gallerie d'immortels emprisonnés par le chevalier sombre. Les portes d'Arkham. McLeod se tient devant la grille. La porte principale s'ouvre. Sort Xavier St.Cloud. McLeod : Me voici, Xavier. Maintenent libère les otages. Xavier : Vous avez entendus ? Fichez le camp ! Les otages sortent, médecins et infirmiers, pâles, efrayés. Xavier retient une jeune infirmière par le bras. Xavier : Tu me la re-dessineras un autre fois, dis ? McLeod (surpris) : Mais et ses yeux ? Je croyais... Xavier : Poisson d'Avril ! Et Xavier retentit d'un rire hystérique. Un rire de fou. Xavier : Hey Bats, combien faut-il d'os de bébés pour... McLeod : Fermes là. Xavier : J'ai touché un nerf ? Comment va Robin ? Est-il allé chez le coiffeur recemment ? McLeod : Salopard de dégénéré ! Xavier : La flatterie ne te mènera nul part. Bienvenue dans le monde réel. Les fous se sont emparés de l'asile. Xavier et McLeod entre dansl'asile, c'est un beau capharnaum. Les fous font comme chez eux. Ce qui est vraiment le cas de le dire; Une jeune femme en blouse blanche s'approche de Xavier. D'autres membres du personnel sont avec elle. McLeod : Xavier, qu'est-ce que ça veut dire ? Je croyais que tous les hotages avaient étés libérés. Dr.Lindsey : En fait nous avons insisté pour rester içi, Batman. Je suis Ann Lindsey, psychothérapeute. Xavier (montrant un homme en veste grise) : Et lui c'est le Dr.Wilder, notre bienfaiteur et le gardien de ces lieux. Wider : C'est mon devoir de rester. Je ne laisserais pas l'asile entre les amins de ces fous-furieux ! Xavier : En attendant j'en connais un qui a du mal à décider ce qu'il doit faire, n'est-ce pas Mike ? Près de Xavier se trouve un homme défiguré, Michael Moore. Michael : Je sui désolé Xavier. Tant de choix à faire, c'est si dur. Xavier : En attendant tu viens de faire sur toi. (D'un ton moqueur) Maitresse, y'a Michael qui fait sur lui ! McLeod : Two-Face ? Ann Lindsey : Excusez-moi, Batman, mais nous préférons l'appeler par son vrai nom, Michael Moore McLeod : Que lui avez-vous-fait ? Ann Lindsey : Il est guéri. Ici c'est un hôpital, Batman, au cas où vous l'auriez oublié. Nous avons débarassé Michael de son obsession pour la dualité. Vous connaissez sa pièce de 1 dollard : marqué d'un côté mais pas de l'autre. L'un le représentait, l'autre représentait Quenten Barnes. Deux uniques facettes de sa personnalité. Nous avons échangé sa pièce de monnaie contre un dé. Ainsi sa peronnalité c'est retrouvé avec six facettes, laissant Barnes moins dominant. Il s'est tellement bien débrouillé avec le dé que nous lui avons offert un jeu de tarot. Il a maintenant le choix entre 78 options. Et Quenten Barnes est désormais non-existent. Bientôt il aura un personnalité unique, bien à lui. McLeod : Bravo, maintenant il ne peut même plus décider tout seul d'aller aux toilettes sans consulter ses foutues cartes. J'ai l'impression que vous avez finit par vraiment détruire sa personnalité. Ann Lindsey : Détruire pour rebatir, Batman. C'est ça, la psychiatrie. McLeod : Mais vous devez admettre que cet endroit finit par peser lourd sur l'esprit de quiconque vient ici. Ann Lindsey : Le gothique ? Les légendes qui ont forgé la réputation de l'asile ? Non-sens. McLeod : Excusez moi d'être franc, alors. Mais je n'ai pas l'impression que vos méthodes aient tellement d'effet sur Xavier St.Cloud. Ann Lindsey : En fait beaucoup d'entre nous pensent qu'il est au-delà d'un quelconque soin. Nous ne savons même pas quelle est vraiment sa folie. Peut-être à-t-il une sorte de perception hyper-évoluée des choses, due à sa nature d'immortel. McLeod : Dites-ça à ses victimes. Ann Lindsey : Il a du mal à s'integrer à son époque. Il est juste psychotique. Parfois c'est un clown, parfois un hédoniste, parfois un psychopathe. Il n'a pas vraiment de personnalité.. il se recrée chaque jour. Il voit le monde qui l'entoure comme un théatre dont il serait le directeur. En disant ces mots Ann a ramassé le jeu de cartes que Michael Moore a laissé tomber. Xavier s'approche d'elle silencieusement. Xavier : Un jeu de cartes, Dr.Lindsey ? J'adore les jeux de cartes. Surtout un test de Rorschach ! Hey Batman, que vois-tu sur cette carte ? La carte en question représente ce qui pourrait passer pour une chauve-souris peinte par un lunatique. Et McLeod voit effectivement une chauve-souris. Xavier : Alors, que vois-tu ? McLeod : Rien. Je ne vois rien du tout. Xavier : Même pas un jeune garçon armé d'une rapière Clam-Shell ? D'autres fous se sont rapprochés du duo d'immortels. Bryce Korland : Arrête de nous faire perdre notre temps, espèce de dingue prétencieux ! Il est aussi à nous. Cassandra : Enlevons lui son masque, je veux voir son visage. Xavier : Pour l'amour du ciel ne soyez pas aussi prévisibles ! C'est son vrai visage ! Mais je veux creuser plus loin. Je veux qu'il sache ce que ça fait d'avoir des doigts gluants qui fouillent l'intèrieur de son esprit. S'adressant à Ann Lindsey, Essayons votre fameux jeu d'association de mots, cher docteur. Ann Lindsey : Eh bien, j'hésite... McLeod : Allez-y, docteur, je n'ai pas peur. Ce ne sont que des mots. Xavier : T'as tout compris, Bats ! Et puis j'aime un homme qui sait résister à la pression. Ann et Duncan McLeod se retrouvent donc autour d'une table, dans une pièce sombre, sous l'oeil scrutateur de Xavier et de ses comparses immortels. Ann : Mère McLeod : Perles Ann : Poignée McLeod : Epée Ann : Epée McLeod : Père Ann : Père McLeod : Mort Ann : Fin McLeod baisse la tête. McLeod : Stop. Arrêtez. Et Xavier St.Cloud éclata d'un rire dément. Plus tard, McLeod et Xavier se retrouvent tous les deux seuls. Xavier : Bon, c'est maintenant l'heure de notre grand jeu, si tu t'en sens capable. McLeod : De quoi parles-tu ? Xavier : Un jeu de cache-cache. Tu as une heure, et il t'est impossible de sortir du batiment. Il y a le Scarecrow et Clayface, l'étrange Dr.Destiny. Elle, tout ce qu'elle fait, c'est rester dans son fauteuil roulant en te regardant et tu cesses d'être réel. Et Kristin a tant envie de te regarder, mon trésor. Oh, et n'oublions pas Ursa qui a quitté son humide cellule pour te voir. Ils veulent tous savourer ta présence. McLeod : Je n'ai pas d'ordres à recevoir de toi. Xavier : Ah...Ecoute, il y a ce type qui vient d'arriver à l'hôpital, okay ? Sa femme vient d'accoucher et il veut les voir elle et l'enfant. Il rencontre le docteur et lui dit "Docteur, je suis si inquiet. Comment vont-ils ?" Le docteur répond "Oh, très bien. Votre femme à eu un magnifique petit garçon et ils sont tous les deux en pleine forme, sacré veinard !" Alors qu'il raconte sa blague, Xavier sort un révolver de sa poche et le pointe sur un des gardiens restés sur place. "Alors le gars se rue ave des fleurs dans la chambre où se trouve sa femme. Mais la chambre est vide, le lit aussi. "Docteur ?" Il se retourne, le docteur et toutes les infirmières de l'étage éclatent de rire et lui crient "Poisson d'Avril ! Ta femme est morte et le bébé est handicapé moteur !" Et juste à ce moment Xavier fait sauter la tête du malheureux gardien. "Tu saisis ? Et merde, encore un mort" Pointant le révolver sur la tête d'Ann Lindsey, Et maintenant Bats, cours. Le jeu se termine à Minuit et il ne pourra en rester qu'un ! Cours ! COURS ! Et Duncan McLeod alias Batman s'enfonça dans la nuit... Xavier se retrouva seul avec Bryce Korland, Cassandra et Michael Moore. Bryce Korland : Moi je dis qu'il faut se lancer à sa poursuite ! Xavier : Nous lui avons offert une heure. Il n'est partit que depuis dix minutes. Cassandra : Qu'en penses-tu, Michael ? Michael : La lune est si belle... Cassandra : Quoi ? Michael : Un immense dollar en argent lancé par Dieu. Et qui a atterrit du mauvais côté. Tu vois de quoi je parle ? En fait c'est de cette manière qu'il à crée le Monde. Cassandra : Bon sang, je ne peux donc avoir aucune conversation rationnelle avec vous ? Vous êtes tous dingues ! Bryce Korland : Toi aussi, très chère... Aile du batiment consacrée au immortels de l'asile... Kristin Gilles erre sur son fauteuil, elle porte un masque mortuaire. Kristin : Clayface ? Clayface, où te caches tu ? John Garrick est dans sa cellule, il observe fixement ses sculptures de glaise. Dont une qui le représente avec McLeod sur un bûcher. Kristin : Ne répond pas espèce de pourriture ! Je n'ai pas besoin de toi ! Je peux très bien trouver quelqu'un pour me pousser mon fauteuil ! Kristin est tellement perturbée qu'elle ne sent pas Marcus Korolus s'approcher avec une fourche. Et brutalement il la pousse dans l'escalier. McLeod observe la scène puis s'éloigne pour se rapprocher d'une autre cellule où il retrouve son ancien ami Brian Cullen, vête d'oripeaux datant du siècle dernier et fumant de l'opium. Cullen : Je suis tellement heureux que tu ais put venir. J'ai tant de choses à te raconter. Tu dois te sentir mal à l'aise, non ? Cette endroit te prend vite la tête, hé hé hé. "FPP" Où en étais-je ? Où suis-je ? Où serais-je ? Ah oui, l'apparent désordre de ce monde est simplement un ordre supèrieur bien au delà de notre compréhension. C'est pourquoi les enfants m'interessent tant : il sont tous fous, bien qu'en eux subsiste un ordre inhérent qui les changera en adultes. Et il en va de même pour les immortels. Du chaos de nos combat sortira l'ordre lorsque le dernier d'entre nous recevra le prix. Connaître les enfants c'est me connaître moi-même. Surtout les petites filles. Les petites filles blondes. Ces petites garces éhontées ! Oh mon Dieu. Que Dieu nous vienne en aide.Parfois j'ai l'impression que cet asile est une tête qui nous change en rêve. Peut-être s'agit-il de ta tête, Batman. Arkham est un miroir, et nous sommes toi... Frissonnant, McLeod s'éloigna... Il s'approcha d'une autre cellule, celle de Maxie Zeus qui étaitr en train de s'injecter du courant éléctrique à l'aide de fils dénudés. Gavriel : Ah. Un pèlerin. Viens à moi, pèlerin. Regarde ton Dieu. Cette électricité enflamme mon cerveau. Le feu du ciel. Attend, tu veux du pouvoir ? Laisse moi le partager avec toi. Je sui Zeus, Dieu tout-puissant. Ceci est mon corps, ceci est mon sang. S'emparant de son épée et l'approchant de sa propre tête, et ceci est mon quickening... McLeod, deviant ce qui va suivre, sort en vitesse de la cellule, ne voulant pas du quickening de ce fou. Gavriel : Attend, je peux te donner le pouvoir ! ATTEND ! Mais McLeod est partit. Il erre dans les coulois sombres, pensif. "Je suis le Chevaler sombre, et je dois maintenant affronter mon dragon..." Et en effet une figure couverte d'écailles s'approche. C'est Ursa, Killer Croc, armé d'une faux. McLeod est plus âgé, plus entraîné qu'Ursa et à tôt fait de le défaire. Mais ne le tue pas, comme il n'a pas tué d'immortels depuis Kanwulf, cette tragique nuit où il a compris qu'il s'était damné pour l'éternité. "J'ai vaincu le dragon, triomphé de mes ennemis, mais où est mon trophé ? Où est mon graal ? Quel était le but de ce tournois insensé ? Le matin suivant ces confrontations, McLeod se retrouve face au Dr.Wilder dans le grand hall. Wilder tient Ann Lindsey dans ses bras, un couteau sur sa gorge. McLeod : Dr.Wilder... Ann : Batman, n'approchez pas. Il va me tuer. McLeod : Vous avez libéré les pensionnaires. Vous avez laissé faire ce massacre. Pourquoi, Wilder ? Wilder : Ecoutez, je n'ai fais que ce qui devait être fait. Lisez le livre posé sur cette table. C'est le journal d'Amadeus Arkham, le fondateur de l'asile. Lisez et vous comprendrez. J'ai marqué la page et l'endroit pour vous. McLeod s'approche de la table et prit le livre dans ses mains. Et la révélation lui vient sous la forme d'un souvenir que son esprit avait répprimé. La terreur cachée d'Amadeus Arkham qui l'avait porté au confins de la folie et fait de lui un pensionnaire de son propre asile, cette terreur qui avait terrorisé sa mère pour laquele il ressentait un amour quasi-oeudipien, était une chauve-souris, symbole de ses terreurs, de ses phantasmes, de tout ces éléments négatifs de sa psyché qu'il s'était évertué à réprimer pour mieux mener sa croisade contre le mal. Exactement comme moi, songe Duncan McLeod du Clan McLeod. Wilder : Tu as compris, maintenant ? Toi, qui a engorgé cet endroit de tous ces pauvres fous, de ces criminels, toi qui a nourri cette asile. Est-ce que tue vois ? Tu es la chauve-souris ! McLeod : Non, je suis un homme... Wider : Ne me prend pas pour un idiot, pourriture d'immortel ! Amadeus Arkham a étudié la magie noire pour contenir la chauve-souris qui était en lui. Il a essayé de tuer son agent de change et c'est pour cela qu'il l'ont enfermé en 1929. Alors tu sais ce qu'il a fait ? Il a gravé ses formules magiques avec ses propres ongles sur les murs de sa cellule ! Tu peux imaginer ça ? Se propres ongles ! Ca lui a prit des années...Il a finit par mourir de désespoir, et depuis on fantôme hante les couloirs de cet asile. Mais ce n'était pas assez. Aussi j'ai utilisé son journal et ses formules pour attirer la chauve-souris en ces lieux. Et maintenant... Ann Lindsey : Wilder, écoutez... Wilder la projette à terre Wilder : Fermes la, imbécile ! McLeod : Wilder, vous ête malade. Vous avez besoin d'aide. Wilder ricane d'un ton aigre. Wilder : Moi, malade ? Vous vous ête regardé dans un miroir ? Puis Wilder se tranche la gorge d'un coup de couteau et meurt dans les bras du Dr.Lindsey. Ann : Mon Dieu, sa gorge. McLeod : Il a eu ce qu'il méritait. Maintenant venez. Pendant ce temps Xavier vient d'apprendre les récents évenements. Il se retrouve une fois encore face à McLeod. McLeod : Les otages ont libres. Xavier : Sans problêmes, McLeod. Mais toi ? Veux tu ta liberté où souhaites tu que nous te débarassions de ta souffrance ? Cassandra : Laissons Two-Face décider ce qu'il faut faire de lui. Michael : Moi ? Je...je ne sais pas si je peux... Xavier : Moore ? Brillante idée ! McLeod lui envoie son fameux dollar en argent. Michael : Si c'est le côté intact il peux partir, si c'est le côté marqué il devra mourir içi. Okay ? Moore lance la pièce dans un éclair de lumière. Elle atterrit dans sa main. Michael : Il peut partir. McLeod et Xavier sont ensemble sur le perron. Xavier : Nous sommes tristes que tu nous quittes, mais tu ne pourras pas dire que nous ne t'avons pas fait passer une chouette nuit.. Amuses-toi bien, dehors. Dans l'asile de fous. Mais n'oublie pas : si ça devient trop dur, il y aura toujours une place pour toi chez nous... McLeod grimpa dans sa "Macmobile" et disparu dans les ténèbres environnantes qui petit à petit laissaient la place à l'aurore. Dans l'asile, Michael regarda son dollar. C'était le côté marqué qui apparaissait. "Qui s'occupe de toi, McLeod ?" FINIS